Maeva Ghennam a lancé son parfum Rouge Rogue, à 200 € les 75 ml, et ça fait déjà beaucoup parler ! De nombreux internautes jugent le prix excessif, surtout après des révélations sur la marque Black Ants, créée juste un mois avant le lancement. Et Sam Zirah n’a pas mâché ses mots en affirmant que seulement 25 flacons auraient été vendus ! Mais Maeva ne compte pas s’arrêter là ! Elle se lance dans la beauté avec Snam Cosmetics, mais depuis, les accusations de plagiat pleuvent.
La cause ? Son packaging ressemble fortement à celui de Poupette Kenza… Coïncidence ? Les critiques fusent ! Et pour couronner le tout, Maeva fait la promo de ses brumes parfumées dans une vidéo ultra-sensuelle en serviette. Entre audace et controverse, certains adorent, d’autres trouvent ça « indécent ». Bref, Maeva sait comment faire le buzz, mais est-ce que tout ça est vraiment un succès ?
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L’influenceuse accusée de racisme après un séjour en Chine
Maeva Ghennam, figure bien connue des réseaux sociaux, semble ne jamais être loin de la polémique. Après avoir enchaîné les bad buzz, la jeune femme s’est retrouvée à nouveau sous le feu des critiques il y a quelques mois, cette fois pour son comportement lors d’un voyage en Chine. En vacances avec son amie Saliah, les deux influenceuses ont créé une véritable vague d’indignation sur la Toile. Le scandale a éclaté après la publication de plusieurs vidéos sur Snapchat, où Maeva et Saliah se sont moquées des coutumes alimentaires chinoises.
Dans l’une des vidéos, elles expriment leur dégoût face à la présence d’insectes dans leurs plats, un moment filmé sans gêne et partagé en ligne. Mais c’est une autre séquence qui a particulièrement choqué les internautes. En s’adressant à un serveur chinois, Maeva demande : « You eat dog ? », et a ainsi alimenté des rumeurs infondées et stigmatisantes concernant les habitudes alimentaires en Chine. Cette remarque a immédiatement été perçue comme une insulte envers la culture chinoise et a exacerbé la colère des internautes.
Maeva Ghennam, coupable de racisme anti-blanc ?
Récemment, Maeva Ghennam a fait une déclaration remarquée en parlant de sa marque Snam Cosmetics et de son parcours. Lors d’une interview, elle a confié : « Toute ma vie, j’ai entendu des phrases telles que ‘les Noirs et les Arabes vous volez, vous n’y arrivez pas’. Toute ma vie, on a rabaissé ma communauté. » Fiére de ses origines, la marseillaise a ajouté : « Je suis fière d’être arabe et algérienne, et de venir des quartiers Nord de Marseille. » Elle a même précisé que sa plus grande fierté et revanche résidaient dans son entourage professionnel, en affirmant que « toutes les équipes qui travaillent pour moi, dans Snam et mes prochains projets, ce sont des Noirs et des Arabes. »
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Maeva a insisté sur le fait que ses avocats et collaborateurs étaient également issus de ces communautés : « Mes avocats ? Noirs et Arabes. Mes équipes ? Noirs et Arabes. On sait faire du business, on n’est pas que des voleurs. » Mais ces déclarations ont rapidement suscité une controverse. Certains l’ont accusée de racisme anti-blanc. Face à ces critiques, Maeva Ghennam a dû se justifier sur les réseaux sociaux, expliquant : « Quand j’ai dit ça, ce n’était pas pour mettre les autres communautés à part. J’ai juste voulu prouver que nous, les Noirs et les Arabes, on sait faire autant bien que les autres. » Cette polémique souligne une fois de plus la manière dont Maeva Ghennam, habituée des controverses, fait parler d’elle, tout en tentant de défendre les siens et d’affirmer son identité.
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